À cause du fait que l’axe de rotation de la Terre est incliné de 23 degrés et  27 minute face au  plan elliptique que la Terre gravite autour du Soleil, à des intervalles réguliers (de six à six mois), l’intensité du champs magnétique naturel de la pôles, ne réussit plus à courber les rayons de Soleil que dans une moindre mesure et  celui-ci ne peut plus pénétrer à l’intérieur ne tombant par contre que les radiations infrarouge quelque peu perpendiculairement sur la surface intérieure de manière alternative de six à six mois sur chacun des orifices d’entrée.

      Cette situation est représentée également de manière suggestive par l’intermédiaire des figures nr. 2(a,b,c) et  nr. 3 de l’annexe 1. Présenté plus haut.

      Dans ce cas, à des intervalles de six mois, par exemple l’été, au pôle nord les rayons du Soleil peuvent pénétrer vers l’intérieur, et au pôle sud juste les radiation infrarouge résulté de la  décomposition par le champ magnétique de la lumière du Soleil, tombe peu perpendiculairement sur la surface de l’orifice d’entrée (coïncidence avec les nuit polaires du pôle sud) mais quoi que ceux-ci ne réussissent plus d’être courbés, détermine une quantité de chaleur retenue très grande sur la zone intérieure annulaire qui conduisent vers la surface intérieure de la Terre allant du pôle sud, favorisant un réchauffement plus puissant de la zone respective avec la flore et la faune, - suffisant.

      Pendant l’hiver l’illumination de la surface intérieure de la Terre devient possible par pénétration des rayons de Soleil sur l’orifice d’entrée du pôle sud, par contre pendant cette période d’hiver (coïncidence avec les nuits polaires du pôle nord), les rayons de Soleil (seulement les radiations en infrarouge) tombant en quelque sorte perpendiculairement sur la zone d’entrée de l’orifice du pôle nord, détermine un climat plus chaud à la zone d’entrée respective, déterminant l’attraction et  la migration des oiseaux et  des animaux des voisinages toujours vers le nord.

      Ce comportement normal des animaux de migrer vers les zones plus chauds nous suggère indirectement, une preuve supplémentaire qui soutient la configuration réelle de la Terre qui  n’est pas une sphère pleine comme cela est connu officiellement et constitue dans ce sens, encore un puissant argument scientifique.

      Cet état de fait favorise une différence de potentiel électrique tant entre les deux pôles de la Terre qu’entre les surfaces extérieures et  intérieures et  la zone des calottes polaires (l’apparition d’un curent électrique continu entre deux points maintenus permanemment aux grandes différences  de température) déterminant tant une circulation naturelle de l’eau et  de l’air par un mouvement continu que le maintien à niveau constant des calottes polaires avec accumulation des glaces respectivement l’ionisation et  le transfert d’énergie électrique vers les nuages de l’atmosphère.

      À cause de cet état de faits, la pénétration des rayons de lumière par courbage de ceux-ci sous l’influence des puissants flux magnétiques respectivement des lignes des champs de force magnétique, se fait progressivement croissant ou baissant chaque jour, en fonction de la position sur laquelle se trouve la Terre sur sa trajectoire elliptique à une certaine date calendaristique, alternant la pénétration de six à six mois, - en fonction de saisons, respectivement - soit sur le pôle nord, soit sur le pôle sud – (voir le figures 2(a), 2(b) et  2(c), de l’annexe 1).

      D’ou vient le fait qu’alors que nous approchons la zone des pôles et  commençons à avancer en suite vers les pôles, sur une même direction méridionale, au fait en réalité commençons à pénétrer (sans le sentir, sous nous une forme de relief) dans la zone où commence le courbage line et  commence la suite de la surface extérieure par la zone des grands orifice de passage, - vers la surface intérieure de la Terre et  à cause de la faible illumination  car le Soleil ne se fait plus voir premièrement à l’horizon nous percevons en réalité les longues nuits polaires de l’hiver le pôle nord et  les longues nuits polaires d’été de hémisphère nordique, - le pôle sud.

      En fait même les positions des cercles polaires inscrites sur nos cartes marque en quelque sorte le début du courbage de la surface extérieure vers la surface intérieure de la Terre depuis le premier jour au début quand il commence a faire nuit durant 24 heures.

      Cet état de fait ne fait que mettre en évidence on ne peu plus clairement, que le commencement du courbage de la surface extérieure de la Terre se fait au début presque inobservable et  assez line et  petit à petit, tout en avançant vers le nord, nous ne rendons même pas compte à quel moment, continuant à un moment donné la marche en ligne droite sur la direction d’un méridien, nous commençons en réalité à revenir vers l’Equateur, mais celui sur la surface intérieure de la Terre, où déjà les points cardinaux respectivement l’Est et l’Ouest, - s’inversent.

      D’ailleurs, il existent également des notes sur certaine vieilles carte „plus bizarres” dans ce sens que L’Est et l’Ouest sont inscrits inversement, ce qui à première vue apparaîtrait comme quelque chose faussé ou dépourvu de sens, en réalité cependant de telle vieilles cartes que l’on peut supposer sont gardées encore ça et là, ces dernières sont particulièrement bien réalisées présentant la réalité et  les vrais états des faits, - concernant la configuration réelle de la Terre il résulte en fait des quels  états de choses les argument scientifiques très puissants concernant la configuration réelle de la Terre